mardi 16 janvier 2007

Sciences et technologies

Introduction
Les cauchemars qui nous semblent les plus inconcevables basculent parfois vers la réalité. Ainsi, la seconde guerre mondiale en est un bon exemple. Elle a soumit à d’inconcevables supplices les prisonniers de ses camps de concentration. Bon nombre d’entre eux faisaient à juste titre parti des populations juives. Le texte suivant traitera donc des conditions de vie de ces séquestrés dans les camps. Dans un aspect plus détaillé, j’aborderai les diverses maladies pouvant y être attrapées, l’alimentation et les travaux forcés.
Développement
Les conditions de vie dans les camps de concentration étaient déplorables. Ainsi, un nombre considérable de personnes y ont laissé la vie pour passé au trépas d’une façon douloureuse et dramatique. De cette manière, la malnutrition, les travaux forcés et la sordidité des camps entrent en cause dans la mort des séquestrés. Les prisonniers après avoir été triés pour les travaux forcés sont menés dans des pièces justement très insalubres. Après quelques semaines aux travaux forcés la différence des lieux et des corps est frappante : les lieux sont à l’extrême de la malpropreté et les êtres qui y vivent sont d’une maigreur inconcevable. Ils étaient nourris d’un simple petit bouilli ou encore d’un simple petit morceau de pain par jour. Tout juste pour les maintenir en vie plus longtemps afin qu'ils accomplissent plusd e travail. Ils s’abreuvaient d’eau polluée de toxines. Ainsi, certains mourraient tout simplement en tentant d’alléger leur soif. Face à cette malnutrition, leur organisme manquant de protéines et de vitamines, leurs muscles se délabrait de semaine en semaine, se qui est appelé la fonte des muscles, leurs os, leur peau etc. se détériorant jusqu’à transformer leur corps en masse extrêmement fragile et faible(la peau sur les os). L'avitaminose et l'anémie étaient présentent chez tout les captifs.L’état des camps de concentration étant déjà très suggestif à l’atteinte de maladies, rien n’améliorait le sort des pauvres prisonniers demeurant dans cet état chétif. Ils étaient très exposés à l’atteinte de maladies puisque leur corps ne disposait que de peu d’anti-corps, sinon dans la plupart des cas, d’aucun anti-corps. Ainsi, le typhus, le choléra, la diphtérie, la tuberculose etc. sont des maladies ayant été observées dans les camps. Dans ce texte, le typhus sera davantage décrit puisque c’est la cause de la mort d’Anne Frank. Le typhus est une maladie provoquée par diverses bactéries de la famille des Rickettsies. Il existe plusieurs types de typhus : le typhus à poux, le typhus murin et le typhus résurgent. Le typhus à poux est celui auquel se rapporte la mort d’Anne Frank. Cette maladie est attrapée dans les endroits malpropres où la bactérie du Rickettsia prowazekii est transmise par le pou humain et provoque des symptômes tels : la fièvre, les maux de tête, la fatigue, la froideur etc.
Conclusion
Enfin, bon nombre des captifs des camps de concentration mourraient de faim ou de maladies, leur corps étant trop faible afin lutter pour la vie. L'attrocité dans laquelle ils mourraient nous donne des frissons cauchemardesques. Divers témoignages affirment que pour les nazis tout se qui contait c’était que ces êtres meurent d’une façon ou d’une autre en ayant servis au développement de la guerre.

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